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Les destinations balnéaires françaises plus chères qu’en 2010


En juillet 2011, les hôtels des villes situées en bord de mer affichent des prix moyens en ligne globalement plus chers que l'an dernier à la même période. Ces données proviennent de l'actuel trivago Hotel Price Index (tHPI), baromètre des tarifs hôteliers publié chaque mois par le comparateur de prix d'hôtels www.trivago.fr

Globalement, les tarifs hôteliers pour une chambre double standard sont plus élevés que l'an dernier dans ces villes en bord de mer, pour ce premier mois de grandes vacances. Les plus fortes augmentations de tarifs en ligne en un an reviennent à La-Baule, St Raphael et Deauville. Seules quelques villes échappent à cette tendance.

Les destinations les plus chères

Il s'agit notamment de Quiberon, où les tarifs chutent de 25 pour cent et d'Antibes, où ils diminuent de 14 pour cent. Parmi les stations balnéaires les plus chères de l'hexagone figurent en ce début d'été Deauville et Porto-Vecchio : dans les deux villes, une nuitée coûte en moyenne plus de 200 euros. Nombreuses sont également les destinations dont la nuitée frise également cette barre symbolique : 190 euros à Cannes, 182 euros à Juan-les-Pins et St- Jean-de-Luz, 180 euros à Biarritz et 179 euros à La-Baule.

Les destinations les moins chères

Pour faire des économies, les vacanciers devront plutôt se tourner vers la Bretagne : à Brest, à Vannes et à Quiberon, les nuitées ne dépassent pas 100 euros. Dormir à l'hôtel dans ces trois villes coûte en moyenne 70, 87 et 99 euros ce mois-ci. Côté Sud, Montpellier affiche également au mois de juillet des tarifs abordables pour une nuit en chambre double standard : 98 euros moyenne. A Royan et aux Sables d'Olonne, les nuitées d'hôtel restent aussi relativement faibles, en dépassant à peine 100 euros.

Louise Gaboury