35,6 millions de Français pratiquent la marche en France chaque année, que ce soit sous une forme douce (la balade du dimanche) que sous un rythme plus soutenu. À l'occasion du salon Destinations Nature, qui s'est tenu dernièrement à Paris ce week-end, voici une liste des plus beaux chemins de randonnée en France.
Le Corse du Nord au Sud (GR 20)
Réputé pour être le sentier le plus ardu d'Europe, le GR 20 permet de découvrir le plus beaux paysages corses. S'étendant sur 180 km, du Nord au Sud, il traverse l'intérieur de l'île de Beauté et peut s'effectuer en une quinzaine de jours.
Les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle (GR 65)
De plus en plus appréciés des randonneurs en quête de sens, les chemins de Saint-Jacques de Compostelle invitent à la découverte de bâtiments religieux,
répartis sur toute la longueur du sentier (750 km).
De l'Atlantique à la Méditerranée (GR 10)
Le GR 10 conduit les randonneurs à travers les Pyrénées, du Pays-Basque aux Pyrénées-Orientales. Pour ceux qui souhaiteraient le réaliser en entier, il faudra s'armer de patience et prendre quelques congés. Le sentier s'étend en effet sur 850 km, ce qui représente près de deux mois de marche.
Les Volcans d'Auvergne aux Cévennes (GR 70)
Également connu sous le nom de Chemin de Stevenson (du nom de l'écrivain écossais qui emprunta jadis cette route avec son âne), le GR 70 dépasse les 250 km. Sur leur trajet, les sportifs admireront les volcans d'Auvergne et les massifs cévenols.
La Provence (GR 49)
Idéal l'été pour profiter du chant des cigales, le chemin de Grande randonnée 49 traverse la Provence-Alpes-Côte d'Azur sur 110 km, en reliant Saint-Raphaël à Rougon, en passant par Fréjus et Draguignan. Cerise sur le gâteau : les marcheurs pourront admirer les gorges du Verdon.
Le sentier des douaniers (GR 34)
1.700 km de parcours pour découvrir le littoral breton, en passant par le Mont-Saint-Michel, St-Malo mais aussi Brest et Lorient. D'accès facile, il suit en grande partie les anciens chemins de douaniers, d'où son surmon. Désormais abandonnés, ils permettaient aux officiers des douanes de patrouiller le long des côtes depuis leurs corps de garde, situés sur des points d'observation clés de la côte bretonne".
