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Article publié dans le webzine de Janvier 2015

Au banc d’essai : Delta Airlines


J’ai volé avec Delta de Palm Beach à Lihue, Hawaii le 26 novembre dernier, veille de Thanksgiving, jour le plus occupé de l’année dans les aéroports américains. J’avais trois vols à prendre, donc deux correspondances, à Atlanta et Los Angeles.  Et tout s’est extrêmement bien passé ! 

Tous les vols ont été à l’heure et le personnel au sol comme le personnel navigant ont été très gentil. À Atlanta, le hub de Delta, avant d’embarquer pour Los Angeles, des employés ont emporté à la barrière un chariot chargé de bouteilles d’eau et de grignotines offerts gratuitement aux passagers pour leur témoigner la reconnaissance du transporteur en cette veille de Thanksgiving ! À bord, même si on vend des aliments, sandwiches et casse-croûtes, on fournit quand même gratuitement pretzels et arachides ou biscuits aux passagers avec leur boisson.

La video de consignes de sécurité existe en plusieurs versions empreintes d’humour. Delta propose la wifi à bord. J’ai voulu faire l’essai du 30 minutes gratuit, mais après cinq minutes, j’ai perdu le signal. L’agent de bord a expliqué que ça arrivait souvent. Pas question, donc de payer ce service instable. Sur le dernier vol au-dessus du Pacifique, on a prévenu les passagers que ça ne fonctionnerait pas au-dessus du Pacifique.

Au retour, le 3 décembre, j’ai eu droit à un très bel appareil pour le long vol Honolulu-Atlanta qui s’est également bien déroulé. Le choix de films à voir sur écrans individuels était intéressant. J’ai pu revoir pour la xième fois « La grande belezza » et découvrir « Le voyage de 100 pas ».

J’avais réservé mon billet en juillet dernier directement avec Delta. On m’a prévenue quelques semaines avant mon départ et mon itinéraire a été modifié à ma satisfaction. J’ai également pu faire comptabiliser les points associés à ces vols sur ma carte de fidélité Air France/KLM.

Rien à dire sur la manutention des bagages, je n’avais qu’un bagage à mains qu’on m’a offert, à quelques reprises d’enregistrer gratuitement vu que les vols étaient pleins, mais j’ai pu le garder avec moi.

Mes vols étant à l’heure, et mon itinéraire bien équilibré je n’ai pas eu besoin d’aller me réfugier dans un des salons Sky Club de Delta, accessibles au commun des mortels moyennant 50$.

Une expérience très positive. Surtout dans le paysage des transporteurs nord-américains.

www.delta.com

Louise Gaboury