Comment rassurer les passagers qui surveillent avec inquiétude les ailes? "Si elles bougent dans une zone de turbulences, c'est uniquement pour jouer le rôle d'amortisseur et minimiser les secousses, elles peuvent supporter jusqu'à six fois le poids de l'avion".
Foudroyé en plein ciel ? "Tous les avons de ligne sont équipés d'un radar météo capable de détecter les orages à 300 km de distance".
L'aéroport pour atterrir est impraticable? "Les pilotes ont toujours une solution de repli et ont déjà sélectionné un terrain de dégagement".
Par ailleurs, les pilotes "mangent deux repas différents, préparé dans deux cuisines différentes". Il restera toujours au moins un pilote dans l'avion.
Enfin, les pilotes ne sont pas "low cost": "Ils suivent plus d'une semaine de formation et de maintien de compétences. Ils sont en outre contrôlés lors de séances de quatre heures de simulateurs, ponctués de pannes moteur, dépressurisation, feux en cabine. C'est l'une des professions les mieux contrôlées au monde".
Source : Le Quotidien du tourisme