Pas toujours facile de supporter les longues heures à bord d'un long-courrier quand on est coincé les genoux dans le siège du devant entre deux voyageurs ronfleurs.
Au fil des années, j'ai créé ma propre trousse de survie. Voici quelques trucs. D'abord, il vous faut une trousse. On peut recycler une trousse de maquillage ou une grande trousse à crayons. Ici, j'utilise une trousse Navy Boot à deux compartiments munis de fermeture-éclair, fournie gracieusement aux passagers de la classe Affaires de SWISS. À l'intérieur, on devrait trouver un masque pour les yeux qui vous garantira l'obscurité nécessaire au sommeil si votre voisin(e) lit toute la nuit, des bouchons pour les oreilles si le marmot de la rangée d'en arrière n'arrête pas de pleurer (ça pourra également servir à destination dans une chambre d'hôtel mal insonorisée), un baume à lèvres, une brosse à dents et un mini tube de dentifrice, de la soie dentaire, une lime à ongles, un somnifère léger, et des petites menthes. On peut aussi y glisser un stylo qu'on aura à portée de la main pour compléter les formulaires d'entrée au pays s'il y a lieu.
On aura également soin d'apporter à bord une petite bouteille d'eau qu'on aura achetée à fort prix après le passage à la sécurité et une couverture (ici, celle fournie dans la trousse confort d'Air Transat), ou un châle qui pourra éventuellement servir à destination si les nuits sont fraîches...
Pour passer le temps, un guide de voyage, un ou deux magazines, un téléphone intelligent ou un iPad sur lequel on aura téléchargé un livre et des jeux. Et des mouchoirs pour quand le film est triste...
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Bon vol !
